L’histoire est celle de trois vieillards qui ont choisi de disparaître en forêt. Trois êtres épris de liberté.
— La liberté, c’est de choisir sa vie.
— Et sa mort.
C’est ce que Tom et Charlie diront à leur visiteuse. Le troisième ne parle plus. Il vient de mourir.
Avec un avant-propos inédit de l’auteure
Prix des 5 continents de la Francophonie
Prix des lecteurs Radio-Canada
Prix du Club des Irrésistibles – Bibliothèques de Montréal
Prix du Grand public Salon du livre de Montréal
Prix littéraire des collégiens – Prix de la décennie
Prix littéraire des collégiens du Québec en Suède
Prix littéraire France-Québec
Prix Ringuet
On en parle
Œuvre d'une grande humanité et en marge de la mode, Il pleuvait des oiseaux met en scène des personnes très âgées vivant en forêt. Ce roman nous réconcilie avec l'amour et nous fait apprivoiser, un peu, la mort.
– Josée Lapointe, La Presse
Avec Il pleuvait des oiseaux, l'auteure s'est surpassée. [...] Quel souffle! Et quelle humanité! Une magicienne de l'âme, Jocelyne Saucier.
– Danielle Laurin, Le Devoir
Le style de Jocelyne Saucier, incandescent quand elle décrit la forêt en flammes, se fait extraordinairement touffu quand elle s’enfonce dans les bois, où il n’y a pas plus disparu que celui qui ne veut pas être retrouvé. Son roman, lui, ne manquera pas de laisser des traces.
– Martine Desjardins, L’actualité