Collectif sous la direction de Marie-Christine Lambert-Perreault, Jérôme-Olivier Allard, Elaine Després et Simon Harel
C’est grâce aux récits que les Homo sapiens ont pu s’éparpiller sur toute la planète. […] Le récit oral, c’est ce qui nous permet non seulement de communiquer les uns avec les autres, mais aussi de transmettre […] du savoir, du savoir-faire, des émotions, des valeurs, des souvenirs, des descriptions historiques. La télésérie, c’est la forme, à l’heure actuelle, la plus aboutie de récit qui mêle toutes les notions et tous les savoirs.
— Martin Winckler, colloque Télé en séries,
Université de Montréal, mai 2014.
La série télévisée semble en effet être l’une des formes narratives qui raconte le mieux notre époque, en témoigne l’intérêt qu’elle suscite auprès d’un public hétérogène, dont font désormais partie les chercheurs universitaires anglophones comme francophones. La sérialité trouve une résonnance particulière dans la culture populaire: du roman-feuilleton qui enflamme les rues de Paris au XIXe siècle aux séries télévisées contemporaines écoutées en rafale, les œuvres sérielles évoluent, mais la fascination qu’elles génèrent demeure. Artéfact médiatique, produit d’une culture industrielle ou œuvre d’art, la série télévisée actuelle se veut un objet pluriel, capable d’évoluer au gré des avancées technologiques.
Cette publication généraliste s’adresse autant aux téléspectateurs passionnés qui souhaitent enrichir leur réflexion qu’aux chercheurs en quête de perspectives nouvelles. Traitant de séries contemporaines américaines, québécoises, autochtones, françaises ou britanniques, les chapitres de l’ouvrage proposent des analyses formelles, génériques, politiques, culturelles et philosophiques. Préfacé par Stéphane Garneau, Télé en séries contient des textes de spécialistes reconnus, dont un rapport d’enquête inédit de Danielle Aubry, mais aussi des contributions de chercheuses et de chercheurs provenant de domaines variés qui partagent une volonté de produire un discours savant sur des œuvres riches, souvent à l’origine de discussions hebdomadaires autour de la machine à café.
Collectif sous la direction de Marie-Christine Lambert-Perreault, Jérôme-Olivier Allard, Elaine Després et Simon Harel
C’est grâce aux récits que les Homo sapiens ont pu s’éparpiller sur toute la planète. […] Le récit oral, c’est ce qui nous permet non seulement de communiquer les uns avec les autres, mais aussi de transmettre […] du savoir, du savoir-faire, des émotions, des valeurs, des souvenirs, des descriptions historiques. La télésérie, c’est la forme, à l’heure actuelle, la plus aboutie de récit qui mêle toutes les notions et tous les savoirs.
— Martin Winckler, colloque Télé en séries,
Université de Montréal, mai 2014.
La série télévisée semble en effet être l’une des formes narratives qui raconte le mieux notre époque, en témoigne l’intérêt qu’elle suscite auprès d’un public hétérogène, dont font désormais partie les chercheurs universitaires anglophones comme francophones. La sérialité trouve une résonnance particulière dans la culture populaire: du roman-feuilleton qui enflamme les rues de Paris au XIXe siècle aux séries télévisées contemporaines écoutées en rafale, les œuvres sérielles évoluent, mais la fascination qu’elles génèrent demeure. Artéfact médiatique, produit d’une culture industrielle ou œuvre d’art, la série télévisée actuelle se veut un objet pluriel, capable d’évoluer au gré des avancées technologiques.
Cette publication généraliste s’adresse autant aux téléspectateurs passionnés qui souhaitent enrichir leur réflexion qu’aux chercheurs en quête de perspectives nouvelles. Traitant de séries contemporaines américaines, québécoises, autochtones, françaises ou britanniques, les chapitres de l’ouvrage proposent des analyses formelles, génériques, politiques, culturelles et philosophiques. Préfacé par Stéphane Garneau, Télé en séries contient des textes de spécialistes reconnus, dont un rapport d’enquête inédit de Danielle Aubry, mais aussi des contributions de chercheuses et de chercheurs provenant de domaines variés qui partagent une volonté de produire un discours savant sur des œuvres riches, souvent à l’origine de discussions hebdomadaires autour de la machine à café.
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