Fermer

L’idéologie du terroir a surtout produit des romans à thèse. À part les grands classiques que sont Maria Chapdelaine, Le Survenant, Trente arpents et Un homme et son péché, on ne trouve plus dans ce genre qu’ennui et répétitions. La forêt (1935) échappe à ce jugement. C’est un roman infiniment touchant et une réussite formelle, malheureusement injustement ignorée parce que l’auteur, Georges Bugnet, vivait dans l’Ouest canadien.

Afficher