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« C’est une grosse robe rouge, qui ne m’amincit pas, qui ne me fait pas fondre dans le décor... J’ai juste l’air d’un gros morceau de joie rouge! Je me sentais tellement puissante, dans cette robe-là! J’avais l’air d’une reine! Quelqu’un qui ne s’excuse pas du tout d’exister, qui prend même plus de place que celle occupée par son corps. »

Un carnet nous donnant accès aux réflexions intimes de l’autrice Marie-Noëlle Hébert, des pensées et perspectives nées dans le sillage de la parution de son roman graphique La grosse laide.

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