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Ce roman a été un succès dès sa parution. Emma Villeray apprend à brûle-pourpoint que son amant la quitte pour des cieux meilleurs. Elle ne s’y attendait pas. C’est une tragédie. Et l’occasion de s’interroger sur sa manière d’aimer, sur son passé, sur sa mère et surtout sur sa sœur, sa rivale, son miroir. Un roman intime sur les femmes et la condition humaine.

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On en parle

La memoria, récit lumineux et grave, affiche des richesses qui le distinguent de tous les autres titres.
– Réginald Martel, La Presse

La memoria, c’est une voix douce, ronde, chaude, qui tremble parfois, qui chuchote presque.
– Danielle Laurin, Elle Québec

Il s’agit bien, pour la narratrice Emma Villeray, de refaire son espace, le plus concret et le plus matériel, et, en parallèle, l’autre intérieur, l’essentiel, d’abord dévasté par le départ de son ingénieur quinquagénaire. Et la façon est subtile.
– Jacques Allard, Le Devoir

[...] l’auteure réussit dans certaines phrases à évoquer des sensations pour lesquelles on pensait qu’il n’existait pas, justement, de mots.
– Pascale Navarro, Voir

Les scènes de rencontre sexuelle, notamment, sont décrites avec une franchise et une délicatesse qu’on ne trouve pas souvent dans la littérature québécoise de ce temps.
– Gilles Marcotte, L’Actualité

La memoria est un titre qui attire! Et l’on n’est pas déçu lorsqu’on lit le livre de Louise Dupré, car son histoire est également très attirante.
– Carmen Montessuit, Le Journal de Montréal

Lauréat
Prix Ringuet 1997
Finaliste
Grand Prix du livre de Montréal 1996
Lauréat
Prix littéraire des Écrivains francophones d'Amérique 1996
Finaliste
Prix Québec-Paris 1997
Droits vendus en Espagnol (Rey Editores)