Son nouvel univers, dystopique, esquisse habilement les frontières et les conséquences d’un futur régi par les hommes et les algorithmes, tout en refusant le cynisme instinctif qui accompagne ce type de proposition. Sa plume furieuse et lyrique est parfois pléthorique, mais assumée, dans cette volonté d’épouser les cris du coeur d’une planète qui se meurt.
— Anne-Frédérique Hébert Dolbec, Le Devoir