Être jeune. Ne manquer de rien. Mais vouloir sortir du cadre, briser le moule, se projeter dans «des existences plus excitantes, pétries d’aventure». Se radicaliser.
Sous la forme de flashs, d’épisodes révélateurs, Faire violence retrace les péripéties d’un révolté et montre les précipices qu’il a côtoyés. Des années plus tard, la mémoire revisite ces épisodes, condamnant leurs dérives autodestructrices mais regrettant leur vitalité, la pureté de leurs élans.
Un roman inventif par son écriture et actuel par sa réflexion.