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Nos albums illustrés

Des albums aux illustrations sensibles et délicates pour s'émouvoir, se questionner, s'émerveiller.

Le texte de Simon Boulerice est à l’avenant de son indéniable capacité à adapter sa plume et ses effets aux lecteurs auxquels il s’adresse, sans jamais faire la morale ni les infantiliser […]. Au contraire, en fin équilibriste qu’il est, le prolifique auteur parvient à aborder une fois de plus un réalité moins connue avec grande sensibilité et crédibilité. Ce sont cependant les illustrations tout en douceur et délicatesse d’Eve Patenaude qui rendent Papier bulle particuilèrement fascinant.
– Valérie Lessard, Radio-Canada

 

Un énorme coup de coeur. Les mots de Samuel Larochelle nous bousculent autant qu’ils nous bercent. Une telle beauté émane de chacune des pages du livre, même celles qui reflètent le désespoir du garçon, car on devine qu’il a envie d’avoir de l’espoir.  
– Anne-Marie Lobbe, Le Journal de Montréal

Florent est maintenant ado et l’écoanxiété qui a marqué ses jeunes années s’est muée en un brûlant désir d’action. Il y a un monde à sauver, après tout. Mais porté par sa passion et par son intransigeance devant le laisser-aller de sa société à l’égard de l’urgence climatique, ne court-il pas le risque de moins bien prendre soin de sa petite sœur adorée, de ses mamans qui s’inquiètent, de lui-même ?

C’est avec une poésie lumineuse que Stéphanie Lapointe investit ici les thèmes de l’espoir, du temps qui passe, du temps perdu, de la solitude et de l’amour. […] Elle pavient avec une infinie douceur à mettre en scène la dureté de la vie, celle de ce temps qui a une emprise sur tout, sur l’humain qui se croit trop souvent immortel. La délicatesse de sa plume, la légèreté avec laquelle elle exploite la souffrance happe en plein cœur, frappe là où il faut, ébranle, chavire…
 Marie Fradette, Le Devoir

Sur le ton de la fable, Stéphanie Lapointe montre avec une grande sensibilité qu’il faut parfois savoir remettre en question les rêves qui guident nos pas. Son propos est magnifiquement mis en images par Rogé, qui a su saisir le désir d’introspection de Stéphanie et créer avec elle un souvenir inestimable du grand-papa qu’elle adorait. 
– Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal