Les gens me demandent pourquoi j’enregistre les histoires de ma mère et de ma grand-mère.
Ce n’est qu’après la mort de mon père que j’ai commencé à leur poser des questions.
« Émouvant, vivant, inoubliable. »
– Madeleine Thien, autrice de Nous qui n’étions rien
On en parle
Supperposant en couches translucides des éléments poétiques, un humour incisif et un riche historique familial, le tout avec le doigté d'une peintre, Pik-Shuen Fung fait un usage frappant des espaces blancs, qui viennent donnent un poids perceptible au deuil du personnage, transformant un expérience souvent très personnelle en une sensation que nous pouvons partager avec elle.
– Chicago Review of Books
Comment Fung parvient-elle à se saisir de mes émotions les plus vives, toutes à la fois, et comment parvient-elle à les ficeler ensemble en si peu de mots par page?
– Kyle Lucia Wu, Bomb Magazine
La forêt des transparences est un premier livre exceptionnel – risqué, précis, beau et plein d’esprit. Comment un tableau peut-il être condensé en « une seule ligne » ? Comment l’amour peut-il prendre racine sans foyer où le semer ? Pik-Shuen Fung crée un monde de relations à la fois lourd et quasi transparent. Il s’agit là d’un livre émouvant, vivant, inoubliable.
– Madeleine Thien, autrice de Nous qui n’étions rien
Créé par une artiste qui donne à son miroir l’angle qu’il faut pour faire de la place aux visages des autres, La forêt des transparences de Fung ressemble à un tableau xieyi, un lieu où espace blanc et absence sont aussi importants que la couleur et la vie. À la fois une élégie de tout ce qui a été perdu entre les pays, les langues, les générations, et un appel silencieusement pressant à aimer ce qu’on a. Inventif, drôle et dévastateur.
– Jennifer Tseng, autrice de Mayumi and the Sea of Happiness
Émouvant… Fragments vivifiants et vignettes poignantes se combinent en un tout éblouissant et évocateur.
– Publishers Weekly (coup de cœur)