Dans Brûler debout, Mathieu Blais porte haut la voix d’une insurrection, d’un besoin de réveiller les consciences et de mettre fin à l’asservissement. Soutenu par une langue franche, aussi brute et libre que les personnages, le récit fait table rase des convenances, secoue les consciences endormies des « demi-civilisés ».
—Marie Fradette, Le Devoir