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Le projet d’écriture qui anime ce roman est tout à fait singulier. Suivant à la trace sept personnages nommés Marie (Mary, Maria) disséminés dans les deux Amériques, Noël Audet nous plonge au cœur de fictions qu’il déconstruit dans des commentaires après coup. Un récit à la fois classique et post-moderne. «Une sorte de chef-d’œuvre», a dit le chroniqueur Jacques Allard.

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On en parle

Noël Audet offre ici sept magnifiques récits, courts mais complets, où l’on rassasie sa soif de lire tout en réfléchissant.
Andrée Poulin, Le Droit

Par-delà des anecdotes parfois choquantes, loin de la rectitude politique, l’écrivain parvient à mettre en évidence des contradictions du monde moderne, aux disparités effarantes, tout en traçant le portrait d’êtres attachants au destin tragiquement réaliste.
Raymond Bertin, Voir

Il me restera et pour longtemps, prégnante, la vision douloureuse d’une Amérique, plus mythique que réelle, qui aurait inventé le Paradis sans donner à tous les moyens de l’approcher.
Réginald Martel, La Presse

Je lis donc avant tout ce roman d’Audet comme une magistrale traversée de frontières (spatiales, thématiques, génériques, compositionnelles, nominales, culturelles, etc.), frontières dont l’essence – faite d’ambiguïté, de questionnement et de doute – unit, en l’occurrence, mieux que tout autre thème ou motif, l’identité même de l’Amérique et l’art du roman.
Eva Le Grand, Voix et Images

Noël Audet a réussi, avec ces Frontières ou Tableaux d’Amérique, une sorte de chef-d’œuvre.
Jacques Allard, Le Devoir